Diflucan 150 mg sans ordonnance
«Je suis en phase de rétablissement, je suis un homme en santé et je n’ai pas d’antécédents de maladie du cœur.» - Jacob, 35 ans
L’alcool, une drogue dure, un fléau
L’alcool a des effets négatifs sur la santé, y compris sur les maladies du cœur. L’alcool fait augmenter le rythme cardiaque, la pression artérielle et le risque d’arythmie. Il peut même entraîner un accident vasculaire cérébral, une maladie du cœur, une crise cardiaque ou une insuffisance cardiaque. La quantité d’alcool qu’une personne boit dépend de ses préférences personnelles et du type de boisson alcoolisée. L’alcool a également un impact négatif sur les relations sociales, les tâches ménagères et la vie professionnelle. La consommation excessive d’alcool peut augmenter le risque de maladies du cœur, de diabète, d’hypertension, de dépression, d’accident vasculaire cérébral, de suicide et d’autres problèmes de santé.
«Malheureusement, la santé publique n’échappe pas à la même règle que la santé personnelle. On se retrouve donc avec une double responsabilité, à la fois personnelle et collective»
«Les risques sont les mêmes. Même si on boit deux tasses de café par jour», indique Mme Dufresne, dont les propos ont été recueillis par Radio-Canada.
«Même s’il y a peu de décès causés par l’alcool, les dommages qu’il cause sont bien réels»
«L’alcool est l’une des drogues les plus dangereuses, il est vrai», reconnaît le docteur André Poirier, directeur de la clinique de cardiologie et d’oncologie du CHUL. «Mais c’est un produit très puissant. Il est très difficile de s’en sortir», note la directrice générale de la Fondation des maladies du cœur, Louise Audet.
«Les gens ne sont pas conscients des risques»
Le docteur Jean-Philippe Gatien, cardiologue au CHUM, estime que «le risque de décès par maladie du cœur est deux fois plus élevé si on consomme de l’alcool que si on ne consomme pas d’alcool».
«On peut être très vigilant et éviter la surconsommation d’alcool»
«Il est très important d’être attentif à notre santé», affirme le docteur Alain Simard, président-directeur général de la Société canadienne du cancer. «On peut être très vigilant et éviter la surconsommation d’alcool», ajoute la professeure Céline Trudel de l’UQAM.
«Il est tout à fait possible de faire un métier sans avoir besoin de boire de l’alcool»
«Les gens ne sont pas conscients des risques, car ils ne sont pas habitués à boire de l’alcool et ils sont encouragés à le faire», affirme le docteur Gatien.
«Il existe des gens qui sont en bonne santé, mais qui ont peur de faire des chutes», constate le docteur Poirier. «Il y a des gens qui ne sont pas encore prêts à s’engager dans une relation de vie active», note-t-il.
«Il est tout à fait possible de faire un métier sans avoir besoin de boire de l’alcool», estime le docteur Gatien. «Il y a des gens qui sont en bonne santé, mais qui ont peur de faire des chutes», souligne le docteur Poirier.
«On sait que l’alcool a un effet néfaste sur la santé physique et mentale»
«C’est une des premières drogues qui a fait l’objet de campagnes de publicité», rappelle le docteur Gatien. «Nous sommes dans une société où l’alcool est une des drogues les plus consommées. Il y a un lien évident entre la consommation de l’alcool et les problèmes de santé mentale et physique», indique le docteur Gatien.
«On sait que l’alcool a un effet néfaste sur la santé physique et mentale», avance-t-il.
«Ça fait partie de notre quotidien»
«Ça fait partie de notre quotidien», déclare le docteur Gatien. «Il y a des personnes qui ont des relations sexuelles pour compenser le manque d’alcool», affirme-t-il.
«Il y a des gens qui disent que ce n’est pas un problème, mais c’est une problématique», estime Mme Dufresne.
«Ça fait partie de notre quotidien, il est difficile de faire abstraction de ça. On doit apprendre à vivre avec», soutient le docteur Gatien.
«C’est une drogue qui est utilisée de façon irrationnelle et qui peut être très dangereuse», explique la professeure Trudel. «La consommation excessive d’alcool entraîne des conséquences négatives sur la santé, y compris une détérioration de la fonction cardiovasculaire», note-t-elle.
«Il faut se battre pour avoir une bonne santé»
«Il faut se battre pour avoir une bonne santé», estime la professeure Trudel. «Nous sommes plus que jamais conscients que la santé publique a été mise à rude épreuve par l’épidémie de COVID-19», souligne-t-elle.
«Nous devons nous battre pour avoir une bonne santé, mais ce n’est pas évident, car il faut faire face à un problème qui n’a jamais été abordé», mentionne-t-elle.
«L’alcool est une drogue dure, il faut prendre soin de son organisme»
«L’alcool est une drogue dure, il faut prendre soin de son organisme», affirme la professeure Trudel.
«C’est une drogue dure, il faut prendre soin de son organisme», explique le docteur Poirier. «L’alcool est une drogue qui a un impact sur notre santé physique et mentale. Il faut en prendre soin.»
«On peut être très vigilant»
«On peut être très vigilant et éviter la surconsommation d’alcool», affirme le docteur Gatien.
«C’est une des premières drogues qui a fait l’objet de campagnes de publicité. On en a parlé depuis plusieurs années», observe le docteur Poirier. «Il y a des gens qui sont en bonne santé, mais qui ont peur de faire des chutes», ajoute le docteur Poirier. «Il y a des gens qui ne sont pas encore prêts à s’engager dans une relation de vie active», ajoute le docteur Gatien.
«Il est tout à fait possible de faire un métier sans avoir besoin de boire de l’alcool», affirme le docteur Gatien. «Il y a des gens qui ne sont pas encore prêts à s’engager dans une relation de vie active», indique le docteur Gatien.
«Il est important de se protéger»
«Il est important de se protéger, surtout si vous avez des problèmes de santé», affirme la professeure Trudel. «L’alcool est une drogue qui fait des dégâts», ajoute-t-elle.
«On peut aussi faire des dégâts»
«On peut aussi faire des dégâts, comme les problèmes de santé mentale, dont les suicides», souligne la professeure Trudel. «Ce sont des dégâts qui sont plus importants et plus importants», ajoute-t-elle.
«Il y a des effets néfastes»
«Il y a des effets néfastes, comme des problèmes de santé mentale, et il y a des problèmes de santé physique, comme les problèmes cardiovasculaires», indique-t-elle.
«Il y a des gens qui consomment pour compenser un manque d’alcool, et ce sont des personnes qui sont plus fragiles», précise le docteur Poirier. «Il faut voir les conséquences à long terme», ajoute-t-elle.
«Les gens sont en mesure de se sevrer»
«Il est possible de se sevrer», indique Mme Dufresne.
«On peut en parler avec un médecin», ajoute le docteur Gatien. «Il y a des gens qui sont en bonne santé, mais qui ont peur de faire des chutes. Il faut leur en parler», explique la professeure Trudel. «On peut en parler avec un médecin», indique le docteur Poirier. «Il y a des gens qui consomment pour compenser un manque d’alcool, et ce sont des personnes qui sont plus fragiles», souligne la professeure Trudel.
«Les gens sont en mesure de se sevrer, ils ont les ressources», affirme Mme Dufresne.
«Il y a des gens qui consomment pour compenser un manque d’alcool, et ce sont des personnes qui sont plus fragiles», souligne le docteur Poirier. «Il faut en parler avec un médecin», ajoute le docteur Gatien. «On peut en parler avec un médecin», ajoute la professeure Trudel.